Etude de marché kinésithérapie 2018
Grâce à un partenariat avec l’Ecole Supérieure de Gestion de Rennes, nous avons réalisé une étude de marché dans le domaine de la kinésithérapie. Cette étude s’est déroulée en deux étapes l’une entre août et septembre 2017 puis l’autre entre avril et juin 2018. Les objectifs de cette étude étaient de mieux comprendre la profession, la pratique de la kinésithérapie, le quotidien et la patientèle des professionnels. Basé sur ces éléments nous avons pu également évaluer l’intérêt du Blueback Physio.
Quelques chiffres !
- 74 kinésithérapeutes ont été interrogés
- 2 kinésithérapeutes sur 3 réalisent plus de 80 séances par semaine soit une activité très soutenue !
- 1 patient sur 2 consulte pour des problèmes de dos (en moyenne)
- 91% des kinésithérapeutes utilisent les muscles profonds dont le muscle transverse abdominal dans la prise en charge de la lombalgie
- 73% des kinésithérapeutes répondent que leur principale difficulté dans cette prise en charge est l’implication de leur patient dans la rééducation
… un petit dernier: 1 kinésithérapeute sur 2 est prêt à s’équiper du Blueback Physio ! (ci-dessous l’infographie de l’étude)
L’analyse
Notre analyse principale est le caractère soutenu de l’activité de kinésithérapeute qui pratique en moyenne 10h par jour avec une part majoritaire (en moyenne) de patients consultant pour des problèmes de dos. Le fait intéressant est que les techniques de soins de ces pathologies passent par l’utilisation de muscle profonds pour la majorité des professionnels (91%) mais que cela constitue une étape difficile à faire comprendre à leur patient (1 kiné sur 2 trouve cet apprentissage difficile pour son patient). La plupart des kinésithérapeutes sont équipés d’équipements de biofeedback (49%) mais très peu l’utilisent dans la prise en charge des douleurs lombaires. Pourtant 78% d’entre eux considèrent que leur principale difficulté dans cet acte de soin est l’implication du patient.
On ne peut que constater un besoin d’un outil dédié à la prise en charge de la lombalgie permettant d’impliquer les patients tout en faisant gagner un peu de temps dans la pratique -> vous voyez ou je veux en venir??
Nous remercions grandement les kinésithérapeutes qui bien voulu répondre à nos questions ainsi que le temps qu’ils ont consacré à cette étude. Et bien évidemment, nous remercions les étudiants de l’ESG ainsi que Nadège Hamon pour leur aide dans la réalisation de cette étude.